Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

réunion publique - Page 9

  • REUNION PUBLIQUE A VANVES : « LE PLATEAU SERA LE CHANTIER DE L’AVENIR »

    La seconde des trois dernières réunions publiques de quartier de la mandature se tiend ce soir à la mairie pour Saint Remy-Le Centre ancien. Jeudi dernier, c’était à Marceau où le maire a fait le plein des chaises et répondu de bout en bout aux questions des participants, en donnant la parole à Yann Texier sur les travaux de GPSO. Aucun élu présent n’a finalement pris la parole, même ceux qui l’entouraient à la tribune. « Ce n’est pas sans une certaine émotion que j’ouvre cette réunion de quartier. C’est la dernière pour le Plateau qui clôturera le cycle : 36 réunions ont ététenus sans en manquer une seule pour informer, consulter, échanger avec les vanvéens. Votre présence montre l’intérêt de cette rencontre. Certains se forcent (pour venir) car ils savent que c’est important. Même si on n’est pas nombreux au regard du nombre d’habitants, ces réunions rassemblent beaucoup de vanvéens. Les gens se mobilisent et se rassemblent lorsqu’il y a des problèmes » a-t-il expliqué en saluant son équipe qui  fait son boulot avec l’intérêt général chevillé au corps. « Un sondage important réalisé par l’AMF (Association des Maires de France), à l’occasion de son congrés la semaine dernière, a montré que c’est la commune qui prime pour les français, l’écoute du maire et de son équipe. Le maire est un référent, la personne à qui s’adresser et être entendu. Et on fera tout pour que l’on ne touche pas à la commune. On peut les regrouper pour réaliser un certain nombre de missions. Mais la relation directe, c’est la commune. Elle est la garantie d’une bonne démocratie pour notre pays ».

     

    En quelques mots Bernard Gauducheau avait dressé le tableau de la situation en cette fin d’année 2013 à quelques mois des élections municipales, avec notamment un sujet inscrit à l’ordre du jour des 3 réunions : le projet de Métropole du Grand Paris  que le Blog suit de très prés - il  doit repasser devant l’Asemblée Nationale, le 10 Décembre. - et sur lequel il  reviendra un peu plus tard et notamment sur les questions posées par les vanvéens. Il a présenté le projet de rénovation du parc des expositions qui devrait s’étaler sur 10 ans, déjà présenté sur le Blog. « On sera vigilant sur les effets collatéraux » a-t-il indiqué en ne cachant pas que Vanves, lors de l’élaboration de son PLU,  comme Issy les Moulineraux,  avait eu l’occasion de dire que « cet espace au cœur de l’agglomération devait être consacré aux congrés, aux séminaires, plutôt qu’aux gros salons nuisants, comme Bâtimat qui a déménagé à Villepinte. Il faut commencer à penser à ce qu’un tel parc des expositions puisse évoluer vers autre chose » avec cet hôtel prévu à l’emplacement du hall 8, ce centre de congrés prévu à l’emplacement du parking sur le toit du hall 7 qui supprimera les places de stationnements.

    Le maire a présenté le schéma de requalification du square Jarrousse qui avait fait l’objet d’une réunion publique voilà un an à cette époque : Un état des lieux qui n’est pas brillant, a été réalisé, où il apparait que « la conception architecturale est contestée, avec ses canaux, sa fontaine et sa cascade usées dont l’alimentation en eau a été arrêté. Les riverains ont été consultés ». Et comme il l’avait déjà annoncé, lors de la précédente réunion publique de quartier, que « la période délicate que nous traversons au niveau des finances (locales), nous améne à être modéré ». Ainsi les canaux seraient supprimés et remplacés par des allées, seul le bassin au pied du kiosque étant gardé, avec la cascade car la détruire aurait coûté très cher, les entrées et le mobilier étant réhabilités. Le coût prévisionnel des travaux étalé sur 2 ans est de 500 000 €  

    Beaucoup de questions ont été posées sur des sujets très divers après l’intervention de Yann Texier sur les travaux réalisés par GPSO dans ce quartier qui ont notamment concernés la réfection de trottoirs, de chaussées, de l’éclairage et le marquage de nombreuses voies publiques, avec l’installation de chaînes téléscopiques rue Auguste Compte pour éviter le stationement sauvage et abusif sur cette voie piétonne :   

    - La Couverture du Bd Périphérique : « Il y a une volonté de le faire. Mais c’est un coût énorme. Et ce n’est pas possible partout ». Tout le monde, au premier rang, s’est regardé lorsqu’ils ont entendu dire, de la part d’une élue, que « le kilométre coûtait 1 M€ ! ». C’est 10 et même 100 fois plus.

    - La Porte Brançion qui donne le sentiment de n’être pas terminé : « Elle devait faire partie de l’aménagement de la couverture du Périph. On nous a demandé d’attendre car laville de Paris avait des priorités. Cela a faillit se faire, mais la ville avait prévu d’installer un entrepôt d’engins de voirie (sur un espace compris entre les deux bretelles du Périph côté Ouest). On a préféré rien du tout ! ».

    - Le stationnement et les manœuvres des cars devant l’hôtel Mercure rue du Moulin qui s’avérent dangereux : « On sensibilise régulièrement la direction de l’hôtel. La police municipale intervient sans résultats satisfaisants. On ne peut pas couper la rue ».

    - Le projet de coupure de l’éclairage public, la nuit, dans certains quartiers : « Nous avons choisi une autre option grâce à la mise en place d’un systéme de télégestion permettant de régler et varier l’intensité lumineuse selon la présence ou non de personnes » a indiqué le Maire en annonçant que « les décorations de Noël consommeront beaucoup moins que voilà 5/4 ans » 

    L’entretien de la place des Provinces au niveau des dalles et de l’éclairage dont se plaignent beaucoup de riverains a donné l’occasion au maire d’expliquer qu’il faut envisager « une réfection de l’ensemble des places et des espaces publics du Plateau qui a 40 ans. Mais la ville ne peut pas le faite toute seule, sans les copropriétés. Ce qui sera très complexe à monter. Il faudra le faire tronçon par tronçon. Ce sera un chantier pour l’avenir ». Il a indiqué qu’une première étape avait été franchie avec l’étude de domanialité, réalisé par des géomètres qui ont établis une carte consultable, pour un coût de  80 000 € financé avec l’aide de GPSO. « On sait qui est chez qui à 2 ou 3 exceptions prés ». 

  • REUNIONS PUBLIQUES A VANVES : UN DIALOGUE VOULU ET QUELQUEFOIS HOMERIQUE

    Ce soir se déroule à l’école Marceau, la première des trois dernières réunions publiques de quartiers semestrielles de la seconde mandature de Bernard Gauducheau,  avant les élections de Mars 2014. Il en aura ainsi tenu 36, occasion de présenter des projets aux riverains comme la résidence étudiante Larmeroux, les travaux d’assainissement des rues Minard, Gresset-Arnaud pour lutter contre les inondations à répétition lors d’orages particuliérement violents, la réhabilition du pont SNCF du Clos Montholon, le projet Cogedim à l’emplacement de la Caverne des Particuliers, de l’immeuble qui a été construit à l’angle des rues Sadi Carnot et Danton pour la SCA Danton (SMI) pour du personnel militaire, l’état d’avancement du PLU en 2009 et en 2010, les résultats l’expérimentation du béton non polluant de la rue Jean Bleuzen, le projet de Tour Triangle avec des représentants de Viparis/Unibail… . « C’est extraordinaire de faire des réunions publiques pendant 3H30 où les vanvéens s’expriment, où les élus expliquent ce qu’ils font. Quel plus bel exemple de ces réunions qui attirent de plus en plus de monde. Ce n’était pas à la mode au début. Il a fallu recréer ce dialogue. Et c’est par plusieurs dizaines que les vanvéens viennent. Vous n’avez pas mesuré ce que représente cette possiblité d’échange ! » expliquait il à l’une d’entre d’elle.

    Mais ce ne sont pas les seules qu’il a organisé, car tout projet public et privé, a fait l’objet de réunions publiques dont certaines sont restés ancrés dans les annales parce qu’elles ont été très animées avec des échanges très vifs entre les promoteurs et les architectes d’un côté, les riverains et les élus de l’autre qui sont montés au créneau :  La résidence hotelière prévue entre les rues Aristide Briand et Raymond Macheron à l’emplacement du CAT qui a dû être entièrement revu pour se transformer en résidence plus classique à la suite de la réunion publique du 14 Novembre 2011, sous la pression des riverains. La résidence prévue par le promoteur Sofiane  à l’emplacement du garage de la rue Raymond Marcheron qui a donné lieu à 4 réunions publiques ( 14 Novembre et 12 Décembre 2011,  12 Mars et  10 Juillet 2012) et au refus du permis de construire par le maire qui avait pris fait et cause pour les riverains notamment après les dysfonctionnements relevés sur le chantier de la résidence étudiante de la rue Diderot. Le chantier de 63 logements du promoteur Martek,  le long des pavillons de la villa des Matrais, a donné lieu à une réunion publique le 24 Juin 2013, très chaude,  à la suite de fissures apparues dans certains pavillons, amenant Gérard Laubier, maire adjoint à perdre son calme légendaite. A contrario, la plus consensuelle s’est déroulé le 29 Juin 2010 lors de la présentation des plans du jardin aménagé sur la dalle qui recouvre le Bd périphérique à la porte de Vanves avec les maires du XIVarrondissement de Paris (Pascal Cherki) et de Malakoff (Catherine Margaté). La plus constructive a concerné le Rosier Rouge (3 Mai 2012) car elle a permis de faire évoluer le projet même s’il a fallu le réduire avec l’abandon du bâtiment prévu à l’emplacement du parking pour un accueil de jour de malades du cancer.  La plus ennuyante a été sans contestation possible la réunion spécifique consacrée au budget et aux finances locales le 23 Juin 2009, ce qui a incité le maire à prévoir une séquence « présentation budgétaire » lors des réunions publiques du printemps plus courte.

    Il a ainsi organisé une seule réunion publique en 2008 (14 Avril) sur le projet d’aménagement de la Cogedim sur le site de la Cave des Particuliers rue Jean Bleuzen,  10 Réunions publiques en 2009, une seule en 2010 (jardin prévu sur la dalle du Périph), 6 en 2011, 9 en 2012 et 7 en 2013 qui ont concerné de multiples projets. Tout y passé : Les résidences hotelière de la rue A.Briand (23 Mars 2009) et étudiante de la rue Diderot (2009), les chantiers de privées de la rue Aristide Briand (14 Nov,  12 Dec.2011, 23 Oct. 2012) dont le résultat a été la mise en place d’un site internet et de sentinelles sur chaque chantier  en 2012,  comme pour le chantier du futur siége d’Hachette qui a fait l’objet de 3 réunions (13 Dec 2011, 11 Juin 2012, 11 Février 2013)  - avec cette exclamation d’un riverain mécontent qui est resté dans les annales  : « Moi je revendique ma part de soleil ! » -    le projet de résidence sociale de 120 logements du Rosier Rouge (9 Dec 2011), une résidence à l’emplacement de la rue de Châtillon (21 fev 2013)

    Une des phrases favorites du maire, pendant ces réunions était « Ma volonté n’est pas de faire le bonheur des gens malgré eux ».Il a précisé  souvent  les régles du jeu aux protagnistes : « Cette réunion s’inscrit dans une pratique habituelle : les riverains doivent être informé sur les projets en cours d‘instruction par les services de l’urbanisme, grâce à ces réunions publiques où ils peuvent s’informer et réagir » en ajoutant : Il n’est pas question de s’affronter mais œuvrer à prendre en compte l’ensemble des problémes et déminer le terrain. Et si des gens cherchent l’affrontement avec la mairie ou les maîtres d’ouvrages, ils n’ont pas leur place ici ». Tout en  les remettant  quelquefois à leur place  «  Si des réunions comme celles-ci sont organisées, ce n’est pas pour présenter des plans faux, mais pour voir ce qui sera réalisé et implanté « avail il déclaré à un promoteur . « On part du principe à Vanves que si quelqu’un pose une question, c’est avec raison, que ce n’est pas un abruti ! ». Enfin, il a souvent rappelé« que la ville n’est pas toujours au courant de ce qui se trame entre propriétaires privées et promoteurs, car contrairement à ce que croient certains dans ce domaine, beaucoup de choses se décident en privé ! ». 

    En dehors de l’immobilier,  ses réunions publiques ont concerné le site propre du CD 50 rue A.Fratacci (2 Février 2009), l’aménagement de la rue de l’Eglise (5 Mai 2009), du mail Sadi Carnot (Dec 2009, Avril 2012), le budget et les finances locales (23 Juin 2009),  le PLU (3 en Avil 2009 et le 14 Décembre 2009 notamment en dehors des réunions de quartier et des comités Consultatifs) , le nouveau conservatoire (9 Juin 2011 et 11Fev 2013), le devenir de la rue de l’Avenir (18 Oct 2011) avec une autre sur le projet (contesté par riverains) de centre cutuel et culturel musulman (3 Oct.2013), la sécurisation du parking Papillon (8 Nov 2011),  la requalification de la rue Louis Dardenne (19 Nov 2012 – 9 Avril 2013), l’aménagement du square Jarrousse ( 4 Oct. 2012), le Grand Paris Express (15 Oct.2012), la sécurité dans certains quartiers  (31 Janv 2013 et 19 Fev 2013), la restauration scolaire (12 Fev 2013), la fibre optique (25 Mars 2013). D’autres thémes d’actualités ont fait l’objet de présentation et d’échanges dans le cadre plus limité des comités consultatifs comme l’extension du stationnement réglementé,  des zones 30 et 20 etc…

  • LOUIS DARDENNE A VANVES : UNE ZONE « 20 » COMME A SADI CARNOT ?

    Pour cette réunion publique lundi soir sur la requalification de la rue Louis Dardenne, le maire avait choisi, pour la première fois, l’école maternelle Cabourg dans la salle de motricité. Occasion pour les riverains de cette rue mais aussi de cette école de la découvrir avec les commentaires ravis de Bernard Gauducheau : « Je suis très fier de cette réalisation » leur a-t-il confié avant d’aborder la question du jour. « Vous m’avez souvent fait des remarques sur l’état de la rue Louis Dardenne, de ses trottoirs, du stationnement. Je vous avais demandé d’être patient. J’avais expliqué d’attendre que le chantier de l’îlot Cabourg soit terminé à part des ravalements et  la construction d’un petit immeuble » a-t-il déclaré gêné par une toux extinctive de voix et sauvé par une bouteille d’eau apportée par la gardienne (de l’école) et des pastilles (de menthe) offerts par des participants. « J’avais prévu de refaire cette rue. L’objectif est de l’améliorer, de la remettre en état, et d’entendre ce que vous voulez » a-t-il ajouté.

     

    Les services de GPSO et de la ville ont présenté le diagnostic de cette rue qui s’étend sur 220 m entre les rues de la République et Raymond Marcheron avec une forte déclinivité de 8%, avec 27 places de stationnement, une chaussée en mauvais état où tout est à reprendre sauf l’assainissement, une largeur variant de 1m avec, à certains endroits, des trottoirs très étroits, parfois inacessible pour les PMR (Personnes à Mobilité Réduite). La loi impose dorénavant d’avoir un trottoir accessible de 1,40 m. En tous les cas les trottoirs sont à sécuriser. Les services n’ont recensés aucun accident dans cette rue depuis 2007 sauf au carrefour R.Marcheron/L.Dardenne concernant un vélo. Il faut reconnaitre qu’à ce carrefour les jardinières empêchent une bonne vision pour les véhicules débouchant de Louis Dardenne, ce qui a provoqué quelques tôles froissées par le passé. Mais GPSO prévoit de requalifier et de réadapter aux usages urbains, le jardin Jean Monnet à cet angle dans le cadre d’un plan touchant les 70 parcs et jardins gérés par l’agglo, tout comme de sécuriser les accés du LEP Dardenne et de refaire l’éclairage public. Ce dernier de type routier, est vétuste, disparate, disposé en quinconce. Là aussi, il bénéficiera du plan de rénovation mené par GPSO et étalé sur 7 ans sur plus de 10 000 pints lumineux. L’interco prévoit d’éclairer au plus juste, en intégrant la télégestion permettant d’économiser l’énergie tout en améliorant l’éclairement et en assurant la sécurité lumineuse. Grâce à un éclairage esthétique avec des mats moins hauts.

     

    Les riverains se sont exprimés après cette présentation : Le premier a posé la question principale : « Faut il garder ou non des places de stationnement, car de là dépendra son réaménagement ? ». Ce qui a provoqué des réactions : « Mais où se gareront nos visiteurs ? » - « Dans le parking Cabourg ? » - « mais on risque d’augmenter la vitesse des véhicules ! » - « Depuis la fin des travaux de Cabourg, beaucoup de véhicules et camions empruntent cette rue, alors qu’un panneau à l’angle République/Dardenne interdit le passage au poids lourds ? »- « Ce qui est gênant, ce n’est pas tellement le bruit, mais ce sont les trottoirs très étroit ? » - « la priorité est de monter ou de descendre de chaque côté sans caillou, sans trou…Le reste on s’en fout ! » - « Tout le monde devrait respecter le stationnement,  les trottoirs, et les bateaux ! Allez-vous mettre des gendarmes couchés, source de bruit supplémentaire ? Est-ce que le square sera autre chose qu’un crottoir ? ». Des riverains de Marc Sangnier se plaignent de stationnement anarchique, notamment sur l’accés Pompiers et devant les grilles des deux parkings qui empêchent la vissibilité. Une mére de famille demande une véritable sécurisation de cette rue et des trottoirs. « Les éléves qui restent groupés devant l’entrée du LEP sont gênant »….

     

    Bernard Gauducheau a répondu à toute cette série de questions et de constats… en commençant par rappeler que la ville avait aménagé un parking dans l’îlot Cabourg et institué le stationnement réglementé pour éviter les voitures ventouses. Et qu’il fallait maintenir quelques places de staionnement pour les riverains qui n’ont pas les moyens de louer un parking. « Avec des déposes minutes,  plutôt qu’une place livraison que les commerçants ont tendance à s’approprier, et qui servent tant à leurs livraisons et à leurs clients » a indiqué Bernard Gauducheau en annonçant que « les maires de GPSO ont mandatés des agents asermentés pour verbaliser les propriétaires de chiens et des auteurs de dépôts sauvages comme les excés de vitesse ou le stationnement illégal » suite à des questions sur la propreté.  « Pourquoi ne pas s’inspirer de Sadi Carnot où nous avons trouvé un compromis avec cete zone 20. Ce qui permet de créer et de donner plus d’espace en supprimant les trottoirs et des obstacles, tout en ajoutant des potelets, pour les gens puissent circuler en toute sécurité »